Les phrases des profs 98-99
Ces phrases ont toutes été recueillies par Danko, classe de
1re S1
C'est la fin de l'année, les vacances vont arriver avec le bac,
les coups de soleil, les insolations, les amours ratés, les noyades,
les accidents de la route... Bref, le bonheur des congés ! Mais
en attendant, souvenons-nous de cette année 1998-99. En effet,
cette année fut mémorable et restera dans les annales, elle demeurera
gravée à jamais dans nos mémoires. C'est en effet la dernière
année du millénaire (bien que des mauvaises langues disent qu'il
commencera en 2001, ah les rabat-joie!). Alors prenant mon courage
à deux mains et mon stylo dans l'autre, je commence à écrire dans
mon agenda les bons mots des profs, puis profitant d'une glace
et des vacances, je m'installe sur une chaise et devant mon ordinateur
pour taper ces phrases et ma s ur quand elle passe (ce n'est pas
vrai, c'est juste pour le zeugma... Encore que...) afin de fixer
à jamais, pour vous et pour la postérité (ouah, un rythme ternaire...)
les souvenirs de cette année là. Vous voilà donc devant un exemplaire
exceptionnel et unique des phrases des profs, le dernier du millénaire
!
Erreur de langage
- ...Les molécules associées en s'associant... (Mme Brunet)
- A l'ère des disquettes, on peut tout avoir en 7-8 exemplaires
(Mme Belleville)
- Vous faîtes passer les feuilles et vous les faîtes circuler. (Mme
Brunet)
- Les alchimistes transformaient les métaux vils en plomb. (Mme
Usséglio)
- Je me tue depuis ce matin, depuis je ne sais pas combien de jours.
(Mme Dublanchet)
- Ah non, tu racontes n'importe quelle stupidité. (Mme Anxolabehère)
- La garde suisse, c'est pas très grand chose. (M. Blondeau)
- Vous placez le point F à peu près en haut. (Mme Rousseau)
- Rambaldelli, c'est un peu pas trop mal. (Mme Tirrion)
- Jean Moulin, on l'a tué à mort. (M. Blondeau)
- Il y a des conseils de classe qui passent comme une lettre à la
boite. (Mme Belleville)
- Dans l'oxygène, il y a 25% d'air. (Mme Anxolabehère)
- Les parties du programme qui vont être sucrées... euh... allégées.
(M. Blondeau)
- On a dit que les deux poulets... euh... deux poulies... (Mme Brunet)
- Nous allons faire un plan de la classe définitif, temporaire.
(Mme Tirrion)
- Il manque six absents. (Mme Usseglio)
- Vous sortez et vous dégagez ! (Mme Rousseau à Daniel)
Cuisine
- Si vous voulez un espace convivial, prenez un mars dans votre
poche et vous le mangerez à la récré. (Mme Dublanchet)
- ...Parce que les maths, c'est pas un livre de recette... (Mme
Rousseau)
- ...Et la menace de l'aubergine, euh, de l'aubergiste... (Mme Usseglio)
- Si vous avez des tics nerveux, prenez des tilleuls le soir. (Mme
Usseglio)
- Tu avales ta sucette, STP. (M. Blondeau)
- On n'est pas au cinéma, y'a même pas d'esquimaux à l'entracte.
C'est bien ce qui fait la tristesse de ce cour... (Mme Usseglio)
- Simon, vous voulez une tasse de thé pour mieux parler avec votre
main ? (Mme Tirrion)
- Y'a des gens qui résonnent comme des casseroles. (Mme Dublanchet)
Bricolage
- J'associe la rotation au tournevis. (Mme Rousseau)
- Si vous avez des vis à têtes hexagonales, vous allez chercher
dans la boite à outils non pas un tournevis, mais une clef, du
bon calibre de préférence. [...] L'avantage de la vis à tête cruciforme,
est que l'axe ne dévie pas. En revanche avec une vis normale,
ça peut dévier et arriver sur vos doigts. Et je peux vous assurer,
qu'un coup de tournevis sur les doigts, ça fait bien plus mal
qu'un coup de marteau et patati et patata... (Mme Rousseau)
- Nous avons ici le principe du tournevis. (Mme Rousseau)
- La limite ici, c'est comme pour l'étau qui se rapproche indéfiniment.
(Mme Rousseau)
- Si vous balancez un manche à balais sur la tête de quelqu'un,
cela peut faire des dégâts (Mme Rousseau)
- ... C'est comme pour les échafaudages... (Mme Rousseau)
Animaux
- En Ariège, à part les ours, il n'y a personne, et d'ailleurs,
les habitants sont un peu des ours. Je dis ça parce que personne
d'entre vous ne vient d'Ariège. De toute façon, y'a personne là-bas
! (M. Blondeau)
- C'est pas la mort du petit cheval de résoudre sans calculatrice.
(Mme Rousseau)
- C'est comme le chien de l'ordinateur qui jappe quand il est content.
(Mme Dublanchet)
- Les Anes sont loin d'être idiots. Je peux vous garantir que si
vous mettez une carotte devant un âne, il aura vite fait de s'arrêter
de courir et de stopper entre quatre fers pour vous envoyer à
terre. (Mme Rousseau)
- Respect maximal au lombric ! Coup de chapeau au lombric ! Je vois
très bien Daniel Cohn Bendit faire de la pub pour le lombric.
(Mme Anxolabehère)
- Vous écrivez comme de mignonnes tortues. Même pas de grosses tortues
d'eau ! (Mme Usseglio)
- On avance comme de misérables tortues. (Mme Usseglio)
- Mac Mahon est celui qui a dit cette phrase magnifique à un général
qui lui avait conseillé de se replier pendant la bataille : "J'y
suis donc j'y reste"... C'est lui qui avait un cheval intelligent
! (M. Blondeau)
- Et le cours, c'est pour votre chien ? Ca lui ferait du bien à
votre toutou d'apprendre le cours, alors vous le notez ! (Mme
Usseglio)
- De loin, vous ressemblez à un diable. De près aussi d'ailleurs.
(Mme Brunet à Simon)
- Oh ! Coucouche panier ! (Mme Usseglio à Paul Henri)
- Ca y'est, c'est encore les deux péronnelles qui nous remettent
ça. (Mme Rousseau à Virginie et Héloïse)
Amour
- Jean Nicolas, je n'ai jamais vu quelqu'un ayant à dire autant
de secrets. Vous devriez animer le "journal du c ur" dans un magazine.
Ecrivez quelque chose comme : " Déprimé, manque de notes sur Rousseau"
et moi, je vous raconte tout ce que je sais. (Mme Usseglio)
- Lisez des livres bilingues quand il pleut, quand il fait moche,
quand vous n'avez rien à faire, quand la copine ou le copain ne
sont pas au rendez-vous. (Mme Dublanchet)
- Qui c'est qui vient de s'envoyer en l'air ? (Mme Buffault à Gabriel
qui a raté un double saut périlleux)
- Le juge, adepte de la chasse au lièvre, est un chaud lapin, si
je puis me le permettre (Mme Usseglio)
- C'était un amour entièrement platonique, c'est pas Clinton le
père Combe ! (M. Blondeau)
- Tu regardes l'heure, c'est vrai, c'est parce qu'on parle des filles,
ça ne t'intéresse pas. (M. Blondeau à Paul)
- Je vais vous rendre vos doudous. (Mme Rousseau, en parlant des
calculatrices)
- Danko, vous voulez que je vous reprenne, un jour, en particulier
? (Mme Tirrion)
- Mais on ne vous aime pas Séverine! (Mme Belleville)
- Vous remplacez les cours par du tripotage de calculatrice. (Mme
Rousseau)
- Les courbes sont le symbole de la maternité. (Mme Tirrion)
- Je lui ferai du charme ! (Mme Dublanchet en parlant du père de
Thomas)
- A deux, c'est plus réjouissant...[de faire une version de grec,
bien entendu!!!]. (Mme Usseglio)
Vanité des vanités (tout est vanité)
- Si j'étais ministre, je ferais faire du russe à tous les sixièmes
pour qu'ils apprennent à réfléchir. (Mme Dublanchet)
- Vous avez devant vous, un prof, un vrai, un pas mauvais, alors...profitez-en
! (Mme Dublanchet)
- Ce que je veux, c'est leur donner une leçon, une bonne ! Et à
tous ! (Mme Dublanchet)
- Tous mes élèves me posent la même question, pourtant regardez,
le dictionnaire fait comme moi. (Mme Dublanchet)
- Pourtant c'était des personnes très intellectuelles et très intelligentes.
C'était aussi des amis à moi. (Mme Dublanchet)
- Moi si j'avais votre âge et je devais jouer cette pièce, je jouerais...
euh... toute la pièce et tous les personnages. (Mme Dublanchet)
- La première fois que je suis allée en Russie, on m'a même demandé
si j'étais Russe. (Mme Dublanchet)
Meurtre
- Mais ne me regardez pas comme ça, on dirait que vous allez me
fusiller. Ce serait bien dommage, car je ne serais pas remplacé.
(M. Blondeau)
- Un jeu de rôle, c'est un jeu où on assassine les copains et après
on dit que c'était un jeu. (M. Blondeau)
- On ressemble à un communard si on est tout rouge, l'air très méchant.
(M. Blondeau)
- H2O va être attaqué, c'est un vrai dessin animé, par HCl ! (Mme
Brunet)
- C'est après ward qu'il faut respirer, si vous voulez respirez...
(Mme Belleville)
- Le nombre de mathématiciens qui se sont tués en duel ou autres
plaisanteries de ce genre... (Mme Rousseau)
Stylos et autres ustensiles
- Peut-être que l'interrogateur sera vieux, jeune, blond... aura
un réveil qui sonne ! (Mme Usseglio)
- Plutôt qu'une calculatrice, pour les jeux, je préfère avoir une
game boy et changer de cartouches. (Mme Rousseau)
- Qui est ce qui s'est fait mal tout seul [en tombant ] ? Vous n'avez
pas abîmé la chaise au moins ? (Mme Rousseau)
- Lorsque vous lancez un objet, il monte puis ensuite, vous retirez
les pieds. (Mme Rousseau)
- Thomas, quand vous arriverez à faire tourner entre vos deux doigts
cet effaceur, vous pourrez vous présenter à l'oral de français.
(Mme Usseglio)
- T'as fini de faire l'hélicoptère ? (M.Blondeau à Zacharie qui
faisait tourner son stylo)
- Dans, le cubisme, la guitare, vous la voyez de face, de profil,
l'archet... (Mme Usseglio)
Caractère
- A l'Ouest de Paris, on respire la richesse tandis qu'à l'Est,
on respire la modestie. J'aurais pu dire: on pue la misère ! (M.
Blondeau)
- "Déjà, en troisième, vous étiez très bavarde."
"Mais madame, je ne vous avais même pas eu ! " (Virginie à Mme
Tirrion)
- Les gens mal élevés, les ministres par exemple, arrivent en retard.
Mais des gens bien élevés comme nous, arrivent en avance. (M Blondeau)
- Les Prussiens rentrent dans Paris, ils sont contents les Prussiens,
y'a les "Folies Bergères" ! (M. Blondeau)
- -"On est allé voir Mme Coppens..."
-"Oui, mais vous savez bien que Mme Coppens est toujours à côté
de ses pompes !" (Mme rousseau)
- Vous avez fait le calcul mais la modestie vous empêche de me donner
la réponse. (M. Blondeau)
- Danko, vous cogitez un peu ? (Mme Tirrion)
- Le Nechet, soyez futé. Ca changera de d'habitude... (Mme Brunet)
- Ne soyez pas ridicule Zacharie, ne forcez pas votre talent ! (Mme
Usseglio)
- Voltaire n'a rien compris à Rousseau. Il n'avait pas les qualités
intellectuelles nécessaires. (Mme Usseglio)
- Vous êtes trop bavardes : Eva qui n'a l'air de rien et Yulia qui
a l'air de tout (Mme Dublanchet)
On n'y aurait jamais cru
- Tu n'as pas réfléchi, mais moi j'ai réfléchi. Bon, c'est normal
! (Mme Buffault)
- Bien sûr, du Russe, on peut traduire dans toutes les autres langues...
(Mme Ochanine)
- -" Mme, ils sont parallèles ?"
-" Ah bon, vous les trouvez parallèles, ils sont perpendiculaires
!"
-" Mais ils sont parallèles entre eux..."
-" Oui, ils sont parallèles mais aussi perpendiculaires !" (Mme
rousseau)
- Rousseau, quand il a le choix entre différentes théories, il choisit
celle qui est plausible. (Mme Usseglio)
- Lorsqu'on vous dit qu'une revue est périodique, vous n'allez pas
avoir chaque semaine une revue identique à la précédente ! (Mme
Rousseau)
- Je vais vous donner un certain nombres de verbes pour vous détendre.
(Mme Dublanchet)
- Si l'euro n'était pas sorti, personne n'y aurait pensé. (Mme Anxolabehère)
- Lorsqu'on a 8 Mev, puis 7 Mev, on se demande où sont passés les
2 Mev... (Mme Brunet)
- Ha, Ha, Ha, ça me fait rire, parce que si je prends un nombre
impair [de points], je ne pourrais pas les grouper par deux Hi,
Hi, Hi ! (Mme Rousseau)
- Il faut savoir se servir du théorème de la médiane même quand
les points ne s'appellent pas A, B ou C. (Mme Rousseau)
- J'ai de gros problèmes avec les numéros. (Mme Rousseau)
- Je n'ai jamais réussi à me faire passer pour une blonde. (Mme
Rousseau)
- Au loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. (Mme Rousseau)
- -"Madame, on les aura quand les convocations du bac?"
-"Tout ce que je sais, c'est que vous les aurez avant!" (Mme Rousseau)
Daniel TEPFER
- Il manque Daniel Tepfer. Il doit être en train de finir le devoir
je suppose. (Mme Usseglio)
- -"Qui n'est pas là ?"
-"Daniel !"
-"Oui, mais lui, il arrivera à 55 !" (Mme Anxolabehère)
- Tepfer Daniel, voilà quelqu'un qu'on repère tout de suite (Mme
Brunet)
- -"C'est un problème d'une seule semaine madame"
-"Non, c'est un problème d'une seule personne, c'est à dire vous
Daniel Tepfer" (Mme Usseglio)
- J'ai dit ce matin à mon mari :" Ils vont tous être endormi et
il y en a un qui fera semblant de dormir plus que les autres et
ce sera toujours le même, Daniel Tepfer. Vous savez, tout le monde
vous connaît à la maison ! (Mme Dublanchet)
- Mais où est Daniel ? Il n'est pas bien ce garçon ! Bientôt, il
va voir la marmotte mettre du chocolat dans le papier alu. (Mme
Usseglio)
- Daniel, j'ai un outil et rassurez-vous je ne m'en servirai pas.
[...] Dan, prenez note. (Mme Brunet avec une très grosse règle
en fer dans les mains)
Cours et études
- Allez, aujourd'hui, on travaille ! (Mme Tirrion)
- Peu d'entre vous finiront leurs études avant 25 ans. P'têt que
vous n'aurez même pas votre bac ! (M. Blondeau)
- M. Allègre a allègrement allégé les programmes... Non, trop facile...
(Mme Brunet)
- Qu'avez-vous fait, une version, un résumé, des maths ? (Mme Tirrion)
- (Mme Belleville) : "Pourquoi tu lui donnes les mots, j'ai dit
que je ne disais plus rien."
(Mme Tirrion) : "Toi oui, mais moi je n'ai rien dit."
- Votre devoir, Virginie, c'est mercredi ou c'est zéro (Mme Tirrion)
- En devoir sur table, vous avez une façon de pomper bien difficile.
(Mme Brunet)
- Si vous voulez rire à mes dépends, faîtes moi lire de l'anglais,
il paraît que c'est très drôle ! (Mme Rousseau)
- Le code génétique n'est pas le même pour toutes les cellules...
comme le code de la route. (Mme Anxolabehère, phrase inscrite
sur la copie de Daniel)
- Vous savez, moi j'ai longuement préparé ce cours. (Mme Rousseau)
- Vous venez [à l'oral du bac] tout nu avec des fleurs dans les
cheveux, avec des percing dans le nez, vous jouez au ballon avec
l'examinateur [...], vous vous servez de votre liste comme cache
sexe, je m'en fous !!! (Mme Usseglio)
- Vous cherchez cet exercice pour demain. Le bureau des pleurs est
fermé. (Mme Brunet)
- Vous avez une rubrique dans votre livre où l'on vous dit avec
humour que plus grand que très grand, c'est très grand... (Mme
Rousseau)
- Les électrons ne barbotent pas dans la solution. Non, pas du tout,
ce sont de très mauvais nageurs ! (Mme Brunet)
- Ze oumane, ça c'est de l'anglais. (Mme Belleville)
Humour et autres phrases
- Si ça sonne, vous me devez un gage ! (Mme Tirrion)
- Quand la tangente d'un cercle se conduit correctement... (Mme
Rousseau)
- J'ai fait le pari que vous serez odieux jusqu'à la fin de l'année.
Je crois que je suis en train de gagner mon pari, mais c'est un
pari imbécile. (Mme Rousseau)
- Latortue, je ne vais pas trop vite pour vous ? (Mme Brunet)
- Vous n'écoutez pas les hélicoptères, mais Mme Anxolabehere. C'est
à peu près la même rime, mais bon... (Mme Anxolabehère)
- Il y avait plusieurs Dupond à l'assemblée [en ~1850], on ne les
appelait pas Dupon-d et Dupon-t, ils ne connaissaient pas encore
Tintin... (M. Blondeau)
- Je n'ai pas encore fermé le crochet. J'attends que vous fermiez
votre bouche. (Mme Rousseau)
- Gandil, rotation p/2. (Mme Brunet)
- On continue pour notre tour d'horizon. A la fin on va avoir le
tournis ! (M. Blondeau)
- La bourse aux réclamation est ouverte. Le CAC 40 est actuellement
en... euh... (Mme Anxolabehère)
- Qui a dit "Ouais" ? Lucky luke ? (Mme Dublanchet)
- Vous roulez comme une locomotive sans conducteur. (Mme Rousseau)
- Dans cette pièce, ils sont au 36ème dessous. Vous savez la piscine,
là ? (Mme Dublanchet)
- Il fallait hanter la gueuse dans les années 30. (M. Blondeau)
- Je ne sais pas si la médecine a fait des progrès, mais il faudra
vous soigner sérieusement. (Mme Usseglio à Paul Henri)
- Lees eenzyyymes sooont cooomme dees genns auuqueels jeee peense
(très lent genre suisse)... mais pas d'anthropomorphisme ! (Mme
Anxolabehère)
- Saal, je n'arrête pas de vous déplacer. Je joue aux échecs vous
savez [...]pour moi vous n'êtes qu'un pion ! (Mme Brunet)
- On n'est obligé de rien du tout. On peut faire un encéphalogramme
plat. (Mme Dublanchet)
- Le mois de juin arrivera ou peut-être pas car nous sommes aux
mains de Dieu... (Mme Usseglio)
- ... le baby-boom. Oh! M. Toubon, ne me dénoncez pas ! J'en suis
vraiment confus, ça m'a échappé. (M. Blondeau)
- Le baby-boom a commencé en 42, mais comme c'était sous Pétain,
je n'en parle pas. (M. Blondeau)
- Maman ne dit pas : "maman ne veut pas téléphoner", c'est pas Alain
Delon pour parler à la troisième personne. (Mme Ochanine)
- Attention Slimane, je vais bientôt convoquer Mme Maman. (Mme Tirrion)
- Je vous garantis que rien n'est garanti. (Mme rousseau)
- Quoi, vous me mettez dans le même sac que Mme Rousseau ? (Mme
Dublanchet)
Hélas ! Maints fois hélas ! Ce présent feuillet ô combien rigolo
est maintenant fini. Il était un peu succinct, je ne le sais que
trop, mais hélas, le manque de coopération des autres élèves était,
hélas, plus que visible. Combien de fois, plusieurs de ces mêmes
boycotteurs sont venus me voir délectés et jubilant comme de joyeux
drilles, se vantant d'avoir entendu une bonne phrase, crânant
d'être les seuls à l'avoir entendu. La plupart de ces lurons n'ont
hélas pas contribué à la rédaction de cette entreprise faute de
n'avoir retenu cette phrase que recherchait tant certains membres
de la rédaction ! D'ailleurs, le boycottage avait atteint son
apogée chez certains : ils n'écoutaient même pas en cours !!!!!
"C'est un coup monté", aurait dit Mme Rousseau, "ça commence à
faire !"
Je ne sais pas pourquoi, mais aujourd'hui, je me sens assez lyrique
! Serait ce l'approche du bac ? Mystère... Réponse dans le prochain
épisode!
Bonnes vacances...
PS : Petit jeu pour ceux qui ont du temps à perdre. Retrouvez
les dates où les profs ont dit ces phrases. Il y a la clé... une
porte bien entendu et surtout un deuxième exemplaire exclusif
de ce feuillet dédicacé par l'ensemble des professeurs (si vous
pouvez me payer la note d'hôpital après, je vous en serai reconnaissant).